Testaumachin

Samedi 16 et dimache 17...

Rendez-vous à 14 heures à St Martin d'Arberoue : Mickey, madame Mickey. G Syllebranque et votre serviteur.

Programme de l'après-midi et de la soirée : topographie d'une petite grotte récemment découverte sur la colline de Gastelu.

Il fait TREEEEEs chau pour monter, vraiment TREEEEEs TREEEES chaud. Aussi pour se rafraîchir (c'est le mot utilisé), une fois arrivés à destination, Mickey propose une petite prospection pour partie en lapiaz ou éboulis, pour partie en roncierle tout se terminant en forêt. Bon.... on n'a rien trouvé mais on a transpiré. Même Gilbert, qui est gras comme une lame de couteau, se demande où il a pu trouver autant de sueur.

Les choses sérieuses maintenant. Je me précipite pour équiper l'entrée et descendre... Ah..... le frais... le frais... dehors Mickey et madame attendent que le GPS fasse son travail et commencent la topo en surface. A l'intérieur, le PA-RA-DIS.

La topo prendra au total quelques heures puisqu'on ressortira vers 21H 30. Entre temps, bien sûr, il aura fallu ressortir pour récupérer l'échelle du puits d'entrée car elle devait servir pour un autre puits dans lequel Mickey m'envoie. J'avais oublié les palmes et ce fut grand dommage tant parois et « fond » se trouvaient être un savant mélange de boue et d'eau avec forte dominante d'eau. Et tout ça pour rien.

Puis il faudra à nouveau ressortir pour récupérer une massette et une pointerolle qui, arrivées en bas, n'étaient plus nécessaires. Bref pour un -13», j'ai bien fait 50 m de puits.

Soirée enchanteresse, et coucher fort tard..

Dimanche 17 : on doit être rejoints par Manu et Gilles pour poursuivre la topo d'Isturritz.

Le premier arrive un peu en avance, le second en retard. Bien sûr, palabres, hypothèses sur..., objection quant à..., et plan de bataille pour la journée avec quand même deux pros de chose. Et c'est là que ça commence à foirer. Gilles... ben oui.... Giiiiiles a oublié hez lui, à Souraïde, la mire pour les relevés de surface. Palabres, hypothèses sur..., objections quant à... Bref Gilbert et moi partons à Souraïde récupérer la bestiole après que Gilles ait prévenu son père de descendre au village car aller chez notre « ami » n'est pas forcément cimple.

1 heure et demie plus tard les travaux en extérieur débutent.

Jusque là il a fait très beau, très bon. Dès que la mire sera sortie il pleuvra. Oh... une simple averse mais qui durera trois heures.

Sur le coup de 14 heures le travail prévu est réalisé et chacun s'en va vaquer à ses occupations itoyenne puisque ce jour-là...

Aïe... aïe aïe... j'angoisse pour la suite...

Samedi, topographie d'une petite grotte sur la colline de Gastelu au Pays Basque.

Le dimanche, suite du travail topographique dans les grottes touristiques avec dans le rôle de Chef, Gilles Parent (applaudissements), du Chef-adjoint, Manu Tixier, de la script-girl chargées de la prise de notes, Marie-Claude Douat et des porte-telescomètres, Michel Douat, Gilbert Syllebranque et votre serviteur.

Tout va bien avant de commencer l'ouvrage, mais au moment de le commencer, le Chef avoue avoir oublié les clous nécessaires au repérages de certains points et... et ... la mire (ou télescomètre) nécessaires pour les relevés de surface (huées des peones). Dooooonc, Gilbert et votre serviteur se rendront à Souraïde (1 heure 1/2 aller-retour) pour récupérer les objets suscités après que Mr Parent père fut prévenu de notre déplacement et que rendez-vous soit pris devant l'église de SouraÏde. Chose dite, chose faite avec efficacité... bien sûr. De retour, Le Sous-Chef et Gilbert entreprennent leur travail. Il n'a pas plu jusque là, mais à partir du moment où ils installent les instruments, flotte et flotte et flotte.

A 14 heures tout ce qu'il était prévu de réaliser est achevé. Il reste encore du boulot.

La (premier) quinquennat du testotruc est achevé alors que d'autres rêvent de débuter le leur. sera-t-il aussi percutant que celui de notre "petit" ?

Donc samedi, "comme d'habitude", on attelle le monstre avec ses beaux pneus en excellent état (ce qui rassure un peu) au fourgon et vogue la galère. Tout cela fait un fort bel attelage, et c'est tout ému que sur la plaine d'Asasp (prononcer asapsss) je me fais doubler par un véhicule de la gendarmerie. Lors du dépassement,le passager me fait un signe pouce en l'air, mais, ouf !!! il ne m'indique de me ranger sur la bas côté. On ne sait jamais, avec cette gente, si on est en faute ou pas.

Arudy... "comme d'habitude", succès assuré et comme d'habitude quelques surprises dans les cordes testées. Par exemple une corde de main courante récupérée en canyon et dans un état qui fait qu'on n'a même pas envie de la tester, ben, cette ficelle, elle tient royalement ses trois chocs sans broncher. La suite des tests devient d'un classiiiiique !

Intéressant quand même... B. Trouvé souhaite utiliser le machin pour voir comment réagissent les coutures de ses articles. Donc, prochainement, le TTT fera un voyage vers Lasseube, mais auparavant, il y a quelques réparations à effectuer car certaines parties vieillissent un peu et demandent deux ou trois points de soudure.